Akira Fukashi

Prénom : Akira Nom : Fukashi Surnom : La Graine Date de naissance : 27 Octobre Age: : 29 ans Sexe : Masculin Origines : Égyptien et japonais Nationalité : Égyptien (émigré clandestin) Orientation sexuelle : Bisexuel Emploi : Chef du Lycoris Sanglant Groupe : Nuit Race : Crocodile du Nil (Crocodylus niloticus)-Semi gros gabarit

Goût :
Cela faisait longtemps que la drogue l'avait pris dans ses filets.  La première fois l'avait rendu heureux et la seconde l'avait réconforté. Elle l'avait fait sourire et égayé sa sombre vie. Mais c’était une illusion. Un mensonge doux et cruel. Elle l'avait transporté loin de son quotidien, avait altéré sa vision. La dose suivante l'avait maintenu dans l'attente et les prochaines auraient pu l'entraîner vers sa mort. Si le poison s'était distillé dans ses veines, il n'avait cependant jamais perdu le combat. Plus qu'une dépendance c'est devenu une habitude.  Il aime se perdre dans ses méandres, fermer les yeux, laisser ses maux être soulagés. S'évader l'espace de quelques instants. Briser l'ennui et les doutes qui l'étouffent parfois. On dit pourtant qu'il vaut mieux ne pas toucher à la merde que l'on vend, mais il s'en fout, consommer ne le dérange pas vraiment, car il sait que jamais il ne tombera aussi bas que les déchets qu'il côtoie. Trop de volonté pour ça. Du moins c'est ce dont il est persuadé.

Malheureusement la drogue n'est pas le seul vice auquel il est addict. A croire qu'il enchaîne les péchés, provocant le monde et ses principes, se moquant de toute moralité. Il aime se perdre également dans les effluves d'alcool. Sans être alcoolique, il est rare qu'il refuse un verre à 10h comme à minuit. Pourquoi se priver du plaisir. Sa préférence va aux alcools forts mais le rhum reste celui qu'il apprécie  le plus dans des cocktails aux noms prometteurs. Pour se réchauffer cependant il n'y a, à ses yeux, qu'une seule façon. La langueur  d'un corps contre sa peau. Sa chaleur, son désir, sentir le souffle de ce dernier  hérisser sa peau. Ses jeux sont égaux à lui même, douceur et violence entremêlées. Laisser libre court à ses instincts et profiter de l'éveil de la chair et des sens.

Si parfois ses parties de jambes en l'air peuvent s'apparenter à un combat, il en est d'autres, même s’ils ne font plus vraiment partie de son quotidien, pour lesquels il ne peut nier qu'il ne les a jamais aimer. Les combats de rue ont fait partie intégrante de sa vie et de ce qu'il est devenu. La rage, l'adrénaline, l’effort de se surpasser, les cris qui bourdonnent aux oreilles, le sang et la sueur, tout ce qui faisait qu'il se sentait libre, si ce n'est puissant. Vivant. Tout comme le sexe il y était accro.

Mais comment parler de ce qu’il aime sans citer le Lycoris Sanglant. A vrai dire il ne s'agit pas simplement d'une lubie ou d'une passion ou même d'un métier comme un autre. Le Lycoris est sa vie. Sa famille. Le gang compte plus que n'importe  quoi. Avec la rage d'un lion il se battrait pour le faire survivre. Le Lycoris c'est lui. Ne pas l'aimer reviendrait à ce renier lui même. Tout ennemis du Lycoris rentre dans son collimateur,  et cela n'est jamais bon. S'il aime ce clan il y a pourtant certains principes qu'il ne laisse pas passer. Il a en horreur tout refus, s'il aime quelques fois qu'on lui tienne tête, ce ne sera jamais très longtemps, ni de la part de ses subordonnés. L’insubordination étant la seule chose qu'il ne laissera jamais passer.

C’est cet ensemble qui saute aux yeux lorsqu’on le côtoie ne serait ce qu’un peu. Mais rares sont ceux qui  peuvent affirmer le connaitre plus que dans les grandes lignes. Il faut dire que le crocodile ne laisse que peu de personne l'approcher.  La sociabilité n'est pas son fort d'autant qu'il est délicat de l’approcher, si ce n'est son caractère,  c'est également le temps qui influe indéniablement sur son humeur. Il ne supporte aucun  changement de température trop brusque et le froid le rend exécrable.

Caractère :
Sa silhouette puissante et agile, tout ce qu'il est, dans ses gestes et sa posture maîtrisés, s'accorde parfaitement avec la bête monstrueuse et infernale dont son aura à l'apparence. Il est le crocodile... La puissance du Nil. Celle invisible mais qui vous traque, silencieuse. Lorsque la bête s'éveille et que ses immenses crocs viennent parer sa gueule, vous n'aurez plus qu'à vous soumettre. Mais nul besoin de libérer son aura...il verra votre peau frémir et l'odeur de la peur vous envahir, il vous brisera.

Il a soif, soif de sang, de violence et de bestialité. Il combat tel un fauve lâché dans les rues de la ville. Animalité, instinct de survie, il est un adversaire impitoyable. La rue l'a vu grandir, elle l'a élevé dans ses règles. Il ne connait pas la pitié, inutile de le supplier. Un esprit bestial dont il a du mal à contrôler l'emprise.  Ne le provoquez pas si vous tenez à la vie. Il a toujours eu du mal à se refréner, réprimer ses actions.  La colère peut enflammer son être avec autant d'efficacité qu'un tison avive des cendres. Il est un être emporté et violent et c'est d'autant plus impressionnant qu'il peut être l'instant d'avant d'un froid glacial. C'est cette dualité qui le maintient en équilibre.

Néanmoins n'allez pas croire qu'il agit sans réfléchir.  La plupart du temps Akira a tout de l'animal à sang froid. Ne le sous estimez pas, il est intelligent et sait s'adapter avec facilité aux situations qu'il rencontre. Il sait attendre, imperturbable, mais son esprit vif analyse tout. Il sait saisir l'occasion, réagir au quart de tour, il est capable de coup de tête mais sait aussi jouer à l'inverse. Il saura vous manipuler, rien ne le dérange vraiment si cela peut servir son intérêt ou celui du Lycoris. Son ambition n'a pas d’égal. Il tient ça de famille. Le pouvoir est quelque chose qui lui va bien et il est prêt à tout pour voir grandir son organisation. Mais si cette imprévisibilité est un atout qui attise la méfiance, elle est aussi une épine dans son  pied et il a besoin de garde fou, palliant à cette impulsivité qui le caractérise. Malheureusement le crocodile est difficile à contrôler et à convaincre.

Physique :



Akira est libre, magnétique, froid et sauvage et cela se voit. Si la beauté semble parfois illusoire lorsqu'on a été abîmé par la vie, ses traits l’ont pourtant emprisonné, mélangeant sans difficulté chacune des particularités de ses deux origines, dépeignant la finesse de ses traits, le contour de ses pommettes saillantes et son port de tête volontaire. L’éclat ambré de sa peau  trahit le soleil sous lequel ses ancêtres égyptiens sont nés, avive les reliefs de ses muscles. Agréablement sculptés, ses 1m89 et ses 93 kg  lui permettent une carrure imposante qu'il entretient avec ardeur. Une musculature sèche et puissante qui roule sous chacun de ses gestes.
Seul bémol à l'harmonie de son corps, les multiples cicatrices qui le lacèrent. Vagues fantômes des traitements justement distribués par son père pour l'obéissance et l'honneur, de sa rébellion, des lames et autres plaies ouvertes que la rue lui a infligé. Des vestiges d'un passé révolu qui, bien qu'indolores maintenant, chaque jour lui rappelle le chemin parcouru.  Il en va de même pour ses tatouages, pas aussi nombreux, ils sont tout aussi visibles, chacun son histoire. Ses humeurs, ses envies, ses malheurs, son enfer et ses bonheurs, tous sont à jamais gravés en lui. Mais cicatrices et tatouages ne sont pas les seuls à le démarquer.
Ses yeux vous feront baisser le regard. Ses prunelles violines encadrées de cils d'un noir ébène, aussi rares et étonnantes qu'elles puissent être, sont ardentes et impétueuses. Elles vous  observent. Vous capturent. Malheur si elles se posent sur vous, car une fois dans ses crocs vous ne pourrez plus vous débattre. Puisqu'il aime ne pas faire comme tout le monde on ne pourra que remarquer d'un premier abord sa crinière dégradée, si claire qu'elle en parait blanche. Seuls les rayons du soleil peuvent  raviver les reflets blonds platine de ses cheveux. Bien sur ceci n'est pas naturel. A t'on jamais vu quiconque de japonais ou même d'égyptien avec une telle couleur, pourtant cela ne choque pas et tranche agréablement avec sa peau caramel. Depuis lors il a toujours gardé cette couleur et peu l'ont déjà vu avec ses cheveux noirs corbeau. Souvent coupés court, il lui arrive de les laisser pousser parfois, selon son humeur.


   

Histoire :
Il a essayé. Il a essayé si fort, si longtemps. Trop longtemps à son goût. Il a essayé d'être comme son père aurait voulu. D'être un bon gamin. Il a essayé de changer le destin que sa naissance avait prévu pour lui.  De rattraper ses fautes, qui n'étaient pas vraiment les siennes. Il a essayé de paraître plus que celui qu'il était aux yeux de ce père. Lui qui ne voulait pas de lui. En vain. Il aurait aimé avoir un autre départ dans la vie, mais pourquoi s'apitoyer. La vie n'avait pas été tendre avec lui mais elle l'avait aidé à le rendre plus fort. Il était un combattant, il avait trouvé sa voie qu'importe le prix qu'il avait à payer.

Difficile de bien partir dans la vie quand vous n'avez jamais été désiré.  Quand le premier geste de votre vie est de prendre celle d'une autre personne. Sa mère est morte en couche. Un histoire de gabarit parait-il. Le pauvre petit serpent des mers n'a pas supporté l'enfant qui lui était bien supérieur. Même si pas assez supérieur pour son père. Le crocodile du Nil vit le jour baigné de sang. Ce n'est pas l'émotion qui étreignit son père, ni pour la perte de sa femme, ni pour la naissance de son fils. Il avait su que cela arriverait et cela ne lui avait posé aucun remord. Avoir un héritier était tout ce qui comptait pour lui. Les sentiments, la famille, très peu pour lui. Néanmoins qu'il ait un héritier mâle, crocodile du Nil comme lui et de gros gabarit, il ne pouvait rêver mieux.

Son éducation fut impartiale et sévère, pas de place pour l'amour ou la considération. Ils ne se voyaient que pour les leçons, la morale, la politique, l'éducation, les corrections et quand son père n'avait d'autres choix que de le traîner avec lui. Au combien il lui fit difficile de contrôler la bête qui se terrait dans son âme. Rapidement la rancœur et la colère envahirent son cœur d'enfant.  S'il ne connu jamais sa mère, il regretta sa mort. Il s'en voulu, longtemps il s'était demandé comment sa vie se serait passé avec elle à ses côtés. Rapidement il comprit que sa mort avait été égale à son père, qu'elle n'avait été qu'un objet de son désir et qu'il en était de même pour lui. L'ambition, la suffisance et  l'ego de son paternel étaient sans égal. Pourtant il essaya de correspondre à l'image qu'on attendait de lui. Son intelligence en faisait un très bon élève.  Il aurait pu aller loin, il avait hérité de cette ambition qui dévorait son père. Son esprit vif était l'un des traits de caractère qui allait le rendre dangereux. Bon élève certes mais il était totalement imprévisible. S'il se tenait à carreau dans la maison familiale, rien n'était pareil avec les autres. Son caractère effacé, distant, froid et ses colères enflammées le rendait peu populaire.  Le charisme qu'il dégageait avait du mal pourtant à amener de potentiels amis. A  vrai dire cela lui avait été égal. La solitude il connaissait. Mais il n'avait pas appris à ignorer les mots et les gestes des autres. Chaque remarque, chaque marque d'autorité sur lui, chaque regard apeuré ou méprisant attisait l'animal au fond de lui. L'insubordination lui était courante et il n'était pas rare de le voir se bagarrer. La rupture était proche.

Très vite il apprit à ne plus rien attendre de son géniteur et la rancœur se transforma en haine. Le mépris pour autrui de son homologue crocodile le rendait malade, l'ignorance qu'il avait à son égard ne faisait que l'attirer du mauvais côté de la pente. Jamais il n'aurait son père à ses côtés, jamais il ne lui apporterait son aide. Quand la colère supplanta le lien familial, quand il sut que c'était fini, il décida de ne plus accepter ce qu'on lui donnait. Jamais plus il ne suivrait le moindre mot de cette personne.  L'adolescence lui apporta le courage de dire non à tout ça. Il cessa l'école qui semblait ne rien lui apporter et ce fit moins présent chez lui.  De plus en plus il traînait dans la rue  côtoyant la plèbe,  avançant dans un milieu dans lequel il respirait enfin. Un endroit où il se sentait libre et pour lequel il était fait. Jusqu'à ce jour où il se confronta à son père. L'affrontement ne fut pas sans dommage il était hors de question que son fil lui échappe. Mais la violence d'Akira eut raison de son aîné et le jeune homme cessa définitivement de rentrer chez lui.  La rue devint son nouveau foyer.

Elle fut son refuge et il réapprit a vivre. Elle le forgea et lui apprit ce que son père n'avait pu. Mais elle n'en fit pas un enfant de cœur. Pour survivre il fallait s'adapter, il fallait devenir comme ceux qu'il côtoyait. Sa colère et sa rage lui firent une place au milieu du carnage. Son intelligence le préserva même devant l'impulsivité dont il pouvait faire preuve. Il s'avait s'adapter et sut rencontrer les bonnes personnes. Mais elle fit de lui un être sans pitié. Si chaque jour était un combat, s'il s'est souvent pris des coups, il préférait mille fois ça et puisqu'il était doué il se fit connaitre en participant à des combats de rue. S'il n'avait pas la technique, il avait la violence et la hargne. La douleur avait le pouvoir de faire oublier tout le reste et lorsqu'il commençait on ne pouvait le stopper. Il se perdait dans ces combats, laissant le crocodile s'emparer de lui, s'acharnant, libéré, tapant jusqu'à ce que sa proie ne bouge plus entre ses doigts. Comme une drogue il se laissait emporter.  Jusqu'à ce qu'il réalise l'horreur de ce qu'il venait de faire. Pourtant rien n'apaisait son âme, et le sort de ces pauvres malheureux ne l'émouvait pas plus que ça. Le crocodile était dur à contrôler, il ne savait pas se maîtriser. Par chance l'apprentissage des arts martiaux lui donna assez de discipline mais ses coups furent plus précis, plus dangereux. Néanmoins il y trouva une certaine passion.

C'est à cette époque qu'il rencontra celui qui plus tard deviendrait son bras droit. Un certain Nakajima.  Ils avaient la particularité de se ressembler comme deux jumeaux. S'ils ne se sont jamais affrontés il n'est pas rare qu'il ait du remettre à leur place ceux qui osaient commettre l'erreur de le confondre. Mais à vrai dire cela l'amusa. Voir les gens se décomposer lorsqu'il se rendait compte de leur stupidité... Cela dura jusqu'à ce qu'il fusse rapidement entouré. Des jeunes paumés ou toute personne qui voyait en lui quelqu'un capable de les aider dans ces rues sales. C'est alors qu'il eut l'idée, naturellement, de monter un gang. L'argent était certainement ce qui manquait le plus. Peu importait les sphères, c'était lui qui menait le monde. Sans ces billets on finissait toujours par sombrer et disparaître. Alors à Kyushu commencèrent à sévir les membres de sa nouvelle famille. Il s'attacha à quelques jeunes qui comme lui avaient choisi ou non de vivre dans les bas-fonds. Des paumés ou des voyous furent les premiers à le rallier. Il avait à peine 20 ans. Depuis jamais son pouvoir ne faiblit au sein du clan. Ils proposèrent leurs services. Tout et n'importe quoi et plus les rangs s'étoffaient, plus il grandissait avec le gang. Son nom? Le Lycoris Sanglant.

Il les menait d'une main de fer. Craint et respecté il devient la graine qui fit naître l'une des organisations les plus puissantes et craintes de la ville. Telle une plante, elle corrompue de ses racines  jusqu'au hautes sphères de la société, prenant plus d'ampleur que tous les espoirs réunis.  Tous les corps de métiers. Ils devinrent invisibles et tant à l'inverse. Rien de plus facile que de faire appel à eux, ils vous trouvaient.  Les années passèrent et il développa les activités. La prostitution et la drogue s'ajoutèrent à leurs chefs d'accusation. Mais on ne pouvait décemment  tremper dans les affaires sales sans que la justice ne vienne y mettre son nez. C'est là qu'il rencontra de nouveau son faux jumeau. C'est en se buttant à lui qu'il comprit que l'avoir de son côté ne pouvait qu'aider le Lycoris à refleurir.  Le clan avait besoin de se défendre et le petit ours semblait tout approprié. S'il ne lui laissa pas vraiment le choix il lui accorda néanmoins la faveur de garder le voile sur sa vie privée. Bien que leur relation n'était au début que professionnelle, un contrat réglé sur papier, il finit par réellement apprécier le jeune homme.  Maintenant un membre important du clan il l'est aussi pour lui, ce qui ne l'empêche pas de passer ses colères sur lui parfois ou de s'amuser de leur ressemblance. Il a entière confiance en lui.  En ce qui concerne le cartel, bien que pouvant être considéré comme une entreprise, celui ci est  toujours resté à ses yeux sa famille. Particulièrement son cercle proche. Il ferait tout pour protéger ceux qui le méritent. Qu'importe le prix, aussi ne supporte t'il aucun manquement aux règles et qu'il est intraitable avec ceux qui requièrent les services du gang.

ll est pourtant un membre qui attira plus son attention. Une personne pour laquelle il dû faire des pieds et des mains afin de lui faire intégrer les rangs. Longtemps il avait cherché un médecin, quelqu'un qui pouvait faire office de chirurgien, telle était la lacune chez eux. Oh il y en avait bien déjà un, peut être deux, mais lui était différent. Un félin. Il y avait quelque chose d'intriguant dans son sillage. Il parvient finalement à ses fins, l'attirant dans ses filets et peu à peu dans son lit. Mais leur relation fut destructrice et le chaos s'empara d'eux. De lui. Un jeu du chat et de la souris dangereux. Pour la première fois, c'est sa source de chaleur qui mit fin à leur relation. La colère et l'amertume s'emparèrent de lui. Si depuis il est accaparé par le clan, à vif, il ne compte pas en rester là avec le jeune homme. Mais pour l'instant il avait assez à faire avec les membres des Justiciers. La ville sale et malveillante avait maintenant  ses vengeurs... Là pour purifier le jardin des plantes difformes et fleurs pourries qui y poussaient. Mais lui ne rêvait que d'une chose, voir agoniser dans la souffrance cette sainte qui s'était juré d'écraser le Lycoris comme une vulgaire mauvaise herbe.




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