Cyrian Londoncat ”
La seule chose que nous apprend la mort, est qu'il est urgent de vivre.
 | Prénom : Cyrian
Nom : Londoncat
Surnom : La glue ou le paresseux (mais vous pouvez m'en trouver d'autre)
Date de naissance : 24 Juillet
Age : 25 ans
Sexe : Masculin
Origines : Afrique du sud
Nationalité : Sudafricaine, visa de travail
Orientation sexuelle : Bisexuel (avec une petite préférence pour les femmes mais je reste ouvert à toutes propositions)
Emploi : Croque mort et employé d'une boutique de pompe funèbre
Race : Thérianthrope Félidé, Protèle d'Afrique du Sud de la famille des Hyaenidae (Proteles cristata cristata), moyen gabarit |
Je n'ai pas peur de mourir, j'ai peur de ne pas avoir assez vécu...
Ne mourrons pas sans n’avoir rien osé ! Sans n’avoir rien aimé ! :Et on peut dire que Cyrian aime et ose ça c’est sûr. Le jeune homme est ouvert à tout, il adore plonger dans l’inconnu, découvrir de nouvelles choses. Il ne fait pas parti de ces frileux qui passent leur vie à se dire « J’aurais pu », non avec lui ces mots n’existent pas. Il savoure trop la vie pour ça. Ainsi dés l’âge de 3 ans, il a réclamé l’apprentissage de la lecture. A travers les livres, il sut que le monde était beaucoup plus vaste que son école et le jardin devant sa maison, il eut très tôt des envies d’ailleurs. Assoiffé de connaissance et de contact, il ne se contenta pas de parler et d’écrire une seule langue, non, il devint polyglotte, maîtrisant avec une certaine virtuosité une dizaine d’entres elles. L’anglais, le mandarin, le japonais, le français… toutes le fascinaient, toutes l’enthousiasmaient. Il pouvait ainsi s’ouvrir un nouvel horizon et communiquer avec des gens sur toute la surface du globe. D’autre part fin gastronome également, il prit la main sur la cuisine familiale, reléguant sa mère aux basses besognes comme il les appelait. Paradoxalement, en dehors de ses activités autodidactes, c’était aussi un élève moyen à l’école, paresseux de nature, quand les choses ne l’intéressaient pas, il ne les faisait tout simplement pas. Il était capable de s’endormir en cours et ne fournissaient que le stricte effort minimum pour passer. La seule chose qu’il appréciait en classe était de passer du temps avec ses camarades. De plus vivant une relation quasi fusionnelle avec son lit, sa mère avait eu bien souvent du mal à l’en faire sortir. Encore aujourd’hui c’est le cas ! Cependant il a une grande faiblesse : Il adore les câlins et les caresses. C’est grâce à cela que l’on parvenait à le lever le matin enfant. Alors pour peu qu’il vous apprécie un tantinet, il vous sera facile de lui extorquer des promesses ou de l’argent si vous faites preuve de tendresse. Toutefois quand c’est non, c’est non, gare à vous si vous poussez le bouchon trop loin, Cyrian a horreur des parasites !
On doit vivre chaque jour comme le dernier !Chacun d’entre nous d’être multiple ? N’est-il pas vrai qu’un jour, nous sommes de bonne composition et que le lendemain nous pouvons être de mauvaise humeur ? Le monde est changement, pourquoi ne le serions-nous pas ? Cyrian lui ne croit pas qu’une personne n’est seulement que ce qu’elle nous montre. Ainsi il ne se définit pas non plus par ce qu’il ressent à un moment de sa vie. Il évolue, il se transforme et il sait qu’il ne pourra vous dire véritablement qui il est que le jour de sa mort. Toutefois l’homme a besoin de certitude, d’instants choisis, de moment plus fort que d’autre afin d’établir une connexion avec ses semblables. Alors aujourd’hui voici qui est Cyrian Londoncat :
C’est avant tout un amoureux de la vie, il travaille certes avec la mort mais il aime profiter de chaque moment de bonheur. Sa compassion, sa douceur et son empathie font de lui une pointure dans la gestion du deuil et de ses clients mais également un ami précieux sur qui l’on peut compter et qui saura vous comprendre. Tourné vers les autres, le jeune homme aime donner, plus peut-être encore que de recevoir. En amour, ce qu’il préfère c’est comblé, choyé presque materné son ou ses partenaires. Ce n’est pas quelqu’un d’exclusif par nature vu son côté généreux, il se contente souvent de vivre ses relations sans se poser de question. A contrario de tout cela, étrangement, il est capable de fidélité car s’il y a bien une chose qu’il déteste par-dessus tout c’est faire souffrir inutilement les gens qui lui sont chers. Il peut donc malgré le fait qu’il ne croit pas à la monogamie s’y conformer pour le bonheur de son conjoint.
Toutefois vous auriez tord de le prendre pour un être influençable sans aucune volonté. Il décide toujours de ce qu’il est prêt à offrir. S’il se met en couple avec vous et que vous lui demandez de ne pas aller voir ailleurs, il le fera sans doute mais ce sera tant que ses sentiments pour vous demeureront assez fort pour ça. S’il constate que les sacrifices ne vont que dans un seul sens, que vous ne lui rendez pas ses intentions d’une façon ou d’une autre. Vous le perdrez et ce définitivement, il n’est pas du genre à regarder en arrière. D’autre part bien que ce ne soit pas quelqu’un d’agressif ou de colérique, il n’aime pas se sentir menacer ou qu’on fasse du mal à ceux qu’il apprécie. Dans ces cas là, il garde une rage froide au fond de lui, jusqu’à ce qu’il trouve un moyen efficace de la faire sortir par une vengeance dont il aura minutieusement préparé chaque détail.
Bref ce qui compte vraiment pour lui, ce sur quoi il base son existence, c’est qu’il ne veut pas mourir sans avoir osé vivre, sans avoir osé aimer de toutes ses forces, sans avoir osé haïr de toute son âme. Pour lui seul le regret tue, le remord lui, donne du sens au passé. Il vivra donc chaque jour comme si c’était le dernier !
L'homme naît sans dents, sans cheveux et sans illusions, et il meurt de même, sans cheveux, sans dents et sans illusions.Cyrian est effectivement né sans illusion, mal accepté par sa famille, il a compensé et tout miser sur son physique. Grâce au sport il a pu s'intégrer, connaitre l'admiration, être aimer tout simplement. Doué surtout au basket, sa taille est impressionnante, il mesure 1m 88 pour 83 kg. Cependant il est loin de faire armoire à glace. Tout en muscle délié, il se déplace avec rapidité. Certains disent même que sa façon de jouer ressemble à une danse. Quoi qu’il en soit, il n’a aucun scrupule à avoir le dessus grâce à ses gènes félins sur ses adversaires. Et lorsqu’il veut séduire, il n’hésite pas non plus à se montrer impitoyable. Il profitera de la moindre ouverture pour exhiber ses abdominaux bien dessinés. Il sait également que sa chevelure qui mélange des tons miels et jaunes pailles, ses yeux bruns orangés ourlés de long cils noir peuvent en troubler plus d’un. Ainsi s’il peut obtenir l’attention de la personne qu’il désire par un jeu de regard ou en mettant sa carrure en avant, il le fera, surtout si cela lui évite de faire le premier pas. Car derrière son attitude sociable, un peu bravache de temps en temps, se cache le petit garçon timide blessé par son père. Il lui arrive donc parfois de se montrer maladroit, de se sentir encombrer avec ce corps qu’il juge trop grand. Loin du cliché du jeune sportif beau et populaire, Cyrian se sent souvent comme un grand dadais, un canasson disproportionné tout en bras et en jambe dont il ignore ce qu’il doit en faire.
Lorsqu'il laisse son côté animal prendre le dessus, ce qui n'arrive pratiquement jamais du fait de son éducation. Il devient alors un protèle, un félin qui du point de vue physique ressemble à la fois à une hyène et à un chien. Sa robe dans les tons beiges rappelle légèrement celle d'un tigre, il en a les rayures d'ailleurs. Il mesure 105 centimètres de longueur, 50 centimètres de hauteur pour 11 kg. Ce qui fait de lui tout de même l'un des plus grands de son espèce.
Au niveau des vêtements, le jeune homme est simple. Il désire en premier lieu être passe partout. De toute façon, il attirera suffisamment l’attention avec sa stature alors point n’est besoin de trop en faire. Quand il est en tenue décontractée, un tee-shirt, un jean, des tennis et ça roule. Pour son travail en revanche il se doit d’avoir une certaine solennité, une certaine classe aussi afin que ses clients se sentent respectés dans leur perte et leur souffrance. Il s’habillera pour ces circonstances d’un costume noir avec une cravate de la même couleur et d’une chemise blanche, ou s’il fait vraiment trop chaud, d’un haut dans les tons foncé sur un pantalon assorti mais plus léger dans la matière. Le principal étant avant tout de rester sobre et de ne pas donner l’impression d’être extravagant. Cela doit sûrement paraitre lourd comme condition de travail mais pour Cyrian c’est avant tout un moyen de communiquer sans passer par le langage oral. Ainsi s’il est vrai que le défunt est mort sans illusion, les vivants qui en possèdent encore se doivent de rester humbles face à lui.
La tragédie de la mort est en ceci qu'elle transforme la vie en destin.
On rit, on pleure, on vit puis on meurt. Trois p'tits tours et puis s'en vont les p'tits malheurs...On considère que notre histoire commence à partir de notre naissance, mais si l’on regarde la réalité, elle a débuté bien avant ça. Chaque génération avant la notre a eu une influence, certaines même de leurs décisions continuent d’avoir des effets sur nous. Nous sommes tous le fruit des siècles passés. Et pour Cyrian cela est plus que jamais vrai.
Dans le début des années 1800, les ancêtres du jeune homme des thériantropes chats, originaires d’Angleterre, et plus précisément de Londres d’où leur nom de famille resté comme une trace de leur origine, décidèrent de quitter leur pays pour aller évangéliser l’Afrique du Sud. Ces hommes et ces femmes qui espéraient un avenir meilleur virent ce continent comme un nouveau départ mais les guerres menaçaient et firent très vite des victimes. Loin de se laisser abattre, ces gens changèrent naturellement de voie pour devenir fossoyeur. De plus les britanniques n’étant pas forcément les plus nombreux ni les plus riches, très vite ils se mélangèrent aux populations européennes présentes. Ce qu’ils ignoraient c’est que beaucoup de ces personnes qui leur paraissaient si puissantes et bien éduqués étaient issues de croisement ethnique. C’est ainsi que les Londoncats qui étaient très fier de leur sang pur ne produisant que des chats virent bientôt apparaitre des hyénidés en leur sein. Ces membres indésirables furent alors rejetés et même mis au banc de la société puisqu’on les confiait bien souvent à des esclaves. Lorsque l’abolition fut votée, la famille changea de méthode pour faire disparaitre les « erreurs », allant de l’infanticide à l’enfermement à vit. Personne ne voulait que leur statut de théranthrope les plus purs soit remis en cause. Ils avaient acquis tellement de prestige au fil du temps qu’on venait de loin les trouver pour des accouplements. Seulement voilà leur château de carte finit par s’effondrer et leur secret par s’éventer, mais comme des reliques du passé, ne voulant pas être assimilé à ces « noirs » qu’ils méprisaient, ils continuèrent à cacher ces naissances. Cependant ils avaient perdus leur influence sur la communauté et la confiance de leur concitoyen. Naquit à ce moment précis une aberration qu’on n’avait jamais vue chez les thérianthropes, un mini apartheid entre ceux que l’on considérait comme non souillé par les gens de couleur et les autres. Peu à peu les mentalités changèrent, les choses évoluèrent néanmoins chez les ascendants de Cyrian ce racisme familiale demeura. La honte imprégnée à ces naissances ne disparut pas non plus.
Edward et Elisabeth Londoncat avaient toujours été fiers de leur grande famille dont chaque membre était bien entendu un chat. Deux garçons et deux filles, ils trouvaient cela parfait, bien équilibré, seulement arrivant déjà tel un trouble fête, madame tomba de nouveau enceinte sans l’avoir vraiment prévu. Chrétiens convaincus que seule la volonté de Dieu compte, ils gardèrent l’enfant. Quel ne fut pas leur désenchantement quand le chaton qu’ils s’attendaient à serrer dans leur bras se révéla être un protèle, un félidé certes, mais affilié aux hyénidés et ressemblant plus de ce fait à un chien qu’à un petit fauve. Aussitôt le père fou de rage rejeta le bébé et quitta la clinique sans même l’avoir tenu contre lui. La mère plus douce, et surtout très maternelle accepta ce coup du sort avec plus de grâce. Tout en le berçant contre elle, la jeune femme lui donna le prénom de son grand père, Cyrian. Elle espérait ainsi qu’il s’intégrerait plus facilement. Mais le temps passa et loin de s’apaiser, la haine d’Edward envers son fils grandit avec lui. Le petit mâle reçut divers sobriquets, le chien, le cabot, le félin raté mais le pire de tous était le dégénéré. Cela était du au fait que le garçon était né avec la capacité de ronronner alors que les hyènes en sont normalement incapables. Pire le garçonnet affichait une sociabilité, une précocité dont n’avait jamais fait preuve ses frères et sœurs. De plus avec sa passion pour les câlins et les caresses, son air maladroit, ses yeux remplis d’innocence, Cyrian ne tarda pas à faire la conquête des autres membres de sa famille. Seul son père restait à l’écart, jusqu’à ce qu’il trouve un moyen de se venger du destin à travers l’éducation de son fils. Férocement parfois à la limite de la maltraitance, il lui apprit à maitriser son aura à un niveau tel que même au plus fort des ses émotions, elle ne puisse échapper à son contrôle. Cela prit du temps bien sûr mais bien avant d’avoir atteint ses douze ans, l’enfant avait acquit une capacité que même les adultes ne manifestaient pas toujours à se discipliner totalement.
Paradoxalement et peut-être pour compenser la rigueur dont faisait preuve son géniteur, Cyrian ne brillait pas à l’école. Fatigué par ses séances d’entrainement qui avaient lieu de jour comme de nuit et peu intéressé par le contenu des cours, le jeune mâle s’endormait souvent. Ce comportement suscitait l’indignation du corps professoral en même temps que la sympathie de ses camarades. Doué également en sport et d’une grande capacité d’empathie, tout en ne se montrant pas insolent, il demeurait malgré ses défauts populaire auprès des enseignants. Il fut donc relativement heureux. Cependant Edward ne traitait son fils qu’avec indifférence en dehors des punitions qu’il lui administrait pour un oui ou pour un non. Ses frères et sœurs malgré l’amour que leur inspirait le petit dernier n’intervenaient jamais pire parfois même ils en jouaient pour obtenir ce qu’ils désiraient de leur père ou de Cyrian. L’adolescent vivait donc deux situations radicalement différentes, scolairement tout se passait assez bien, en revanche dans l’intimité, il restait en marge de sa propre famille. Jusqu’à ses dix huit ans, il se voyait devenir basketteur professionnel mais un incident l’incita à changer d’ambition afin de reprendre la boutique des Londoncats. L’un de ses meilleurs amis perdit un proche, s’adressant à Edward pour les obsèques, ce dernier se montra professionnel mais peu touché par la détresse de ses clients. Ce fut Cyrian qui sut trouver les mots dont ils avaient besoin. Se sentant utile pour la première fois de sa vie et pas simplement quelqu’un qu’on admire ou qu’on déteste. Il décida que lui aussi travaillerait dans les pompes funèbres. Peu importe l’image que cela renvoyait aux autres, peu importe ce qu’en penserait son père, il avait trouvé ce pour quoi il était fait.
Dés lors qu’il eut choisis son métier, Cyrian s’investit énormément dans sa scolarité. D’élève moyen, il devint appliquer. N’optant pas pour la facilité cependant, Il s’engagea dans une formation par alternance faisant de son père son patron. Rabaissé tout les jours, humilié parfois, le jeune homme s’accrocha pour parvenir à son but. Il mit toutefois un terme à la tyrannie de celui qui l’avait engendré en changeant de boutique et de chef. Il ne pouvait prendre le risque de rater son examen pour tenir tête à son géniteur. D’ailleurs il mit définitivement fin au règne de terreur de celui-ci lorsqu’il déménagea seul, sans rien demander à personne. A partir de cet instant, sa vie prit un tournant décisif, libre il put enfin explorer sa sexualité, exprimer et assouvir sa curiosité. Internet devint son outil favori, lui permettant de parler à des gens dans le monde entier. Il découvrit cette communauté de Thérianthrope au Japon qui se mélangeait sans regarder les origines ethniques de chacun et l’idéalisa. Il en fit son nouveau but à atteindre, mettant chaque mois de l’argent de côté afin d’aller là-bas et s’y monter sa propre affaire. Un évènement qu’il n’avait pas prévu lui permit d’accélérer son projet. Sa grand-mère maternel décéda et légua une somme d’argent plus que confortable à tous ses petits enfants. Il n’avait jamais vraiment eu d’affinité avec elle mais par ce geste, elle gagna une place dans son cœur. A la fois donc triste et heureux, il vint faire ses adieux à sa famille. Mais quand il arriva, il assista à une scène à laquelle il ne s’attendait pas et qui le retourna complètement. Edward, cet homme si fier se tenait là dans son jardin, sans personne aux alentours et avait décidé de relâcher son aura. Pour la première fois de son existence Cyrian assista à la transformation de son père et découvrit non pas un chat mais un protèle comme lui ! Ainsi cet être plein de fiel qui lui avait fait vivre un enfer était de son espèce. Il en déduisit que sa mère était forcément au courant et avait laissé son plus jeune fils face à son mari pourtant. Se sentant trahis, horrifié d’être peut-être un jour le reflet de cet homme qu’il n’avait jamais réussi à aimer. Il partit finalement sans au revoir, décidé à se guérir de son passé, à se réinventer loin de toute perversion, de toute cette haine.
Voilà pourquoi aujourd’hui c’est à Kyushu que nous retrouvons Cyrian, travaillant dans une magasin de pompes funèbres et prêt à se construire un nouvel avenir.
FIN
Bas les masques, la mort est là !
Autre chose : Non tout va bien
As-tu bien lu le règlement ? : Oui
Le forum est : Gacha gacha cute~Comment as-tu découvert ce forum ? : Par une amie
C'est quoi ton avatar ? : Toma de AMNESIA
As-tu lu les manga Love Pistols ? : Oui
Regardé les OAVs ? : Oui
Changerais-tu quelque chose ? : Non
Accueil
Sam 12 Oct - 2:48
) chaque fiche de tout les thérianthropes validés et en cours afin de ne pas réitérer mon erreur. Je vais réfléchir de nouveau à mon personnage et voir ce que je peux faire ça va peut-être prendre un peu de temps car j'avais imaginer toute une histoire autour de son genre animal et il va falloir que je réinvente de A à Z mais ce n'est pas grave, j'aime les défis, je vais m'y atteler.
